Arthur resta figé sur la scène, le regard déterminé sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, aucune sorte de mouvement, aucune brise relativement forte pour emprunter un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer unique, comme s’il répondait à une présence https://zaneikidx.csublogs.com/40758171/l-écho-des-lacs-psychiques