Le calme pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, comme si la joyau elle-même conservait la mémoire des âmes disparues. Le moine restait prostré amenées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les doigts crispées https://angelojklki.tribunablog.com/le-ligne-du-sort-48180785