Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son marotte, attendait que l’obsidienne parle à récent. La gemme noire semblait absorber la luminosité sélénite, vibrer sous la pression du vent, et assez fréquemment, sans éclairer, elle résonnait de cette voix https://rafaelalrvy.smblogsites.com/33909378/les-traces-effacées