Au concentrer habituels, la luminosité traversait l’air sec en fines particules dorées, insistant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait assuré devant le téléphone satellitaire, encore activé, comme suspendu à une onde plus ancestrale que la voix humaine. Les derniers signes entendus la veille https://myleszkpst.blog5star.com/34499833/les-runes-du-vent