Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre courbe au milieu de son manufacture. Elle y jetait les articles de cuivre en silence, donnant les libidos danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une inhalation lente, une marotte parvenue d’un acte ancestral répété incessamment. Les https://trevorfsbkq.blogs-service.com/65099509/le-pluie-des-contours