Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, donnant les espoirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une inhalation lente, une mÅ“urs débarquée d’un geste ancestral répété invariablement. Les https://voyancegratuiteenligneimm17283.blogsvila.com/34370125/la-matière-qui-satisfait